Reviews: SAT114
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Fransız grubun 2. albümü yaklaşık 12yıl sonra piyasadaki yerini aldı.Hiç tanımayanlar için grubun tarzını Emperor'un ilk dönemlerindeki kaotik bestelerine benzetebilirim. Artı olarak death metal harmanı rifler,ve tabiki brutal vokaller grubun müzikal yapısını zenginleştiren temel faktörlerden biri,fakat genel olarak raw bir hava hakim,şarkılar yine benim düşünceme göre gereksiz uzunlukla,bm&dm harmanı müziklerde 10 dklık 8 dk lık şarkılar gereksiz uzun geliyor bana,ama seveni vardır...
İlk albümlerini dinleyeni çok zaman geçti tam olarak anımsayamıyorum fakat bu albüm oldukça yerli yerinde bir yapıya sahip,vokalleri oldukça beğendim scream vokaller biraz zayıf kalsada brutal vokaller ile olayı toplamayı başarmış.
Raw Black Metal sevenler dinlediğinde tatmin olacaktır,ama black&death,goatçı tayfa beğenmeyebilir.
Le moins que l’on puisse dire c’est que Necrocult n’est pas le groupe le plus productif de l’underground français, avec ses deux albums en 18 ans d’existence. Encore trop jeune pour la musique de cet acabit en 2003, c’est donc avec intérêt que je me penche sur ce second skeud sortit 12 ans après le premier. Un artwork malheureusement assez oubliable compte tenu de l’imposante taille du titre. Musicalement Necrocult produit un Black/Death des plus efficaces, en même temps avec un tel nom on l’imaginait moins dans le Power/Sympho. Assez proche de ce qu’a pu produire un Anal Blasphemy ou Beherit, on trouvera également quelques accointances avec Black Witchery, des valeurs sûres du genre. Qu’on se le dise, Necrocult ne donne pas dans l’orignal mais le Black/Death et plus particulièrement sur son côté plus bestial. Ce style n’ayant jamais réellement renouvelé sa formule, ici on attendra donc de la maîtrise de son sujet de la part des musiciens.
Or son sujet, le groupe toulousain le maîtrise, chaque point, chaque code qui rend ce style efficace est bien là, mid-tempo bien placés, riff brutaux et poisseux, etc. Ce « For Thine Is the Kingdom, and the Power, and the Glory » est donc assez classique mais efficace et maitrisé.
Contrairement à la plupart de ses confères officiant dans un registre similaire, Necrocult ne tire pas sa demie-appellation « Black » d’une imagerie explicitement blasphématoire ou d’ambiances occultes mais plutôt de son riffing qui vient parfois alléger les compositions, évitant la redondance qui châtie bien souvent les piètres groupes de Black/Death. Tour de force pour le trio d’offrir des riffs purement Death, s’enchainant sur des tremolos Black pour finir par unir les deux genres et cela sans jamais nuire à la cohérence de son album. Un des meilleurs exemples de ceci est la première pièce « Shadow » avec ses trois premières minutes d’un Black d’obédience norvégienne pour conclure avec un Death Metal pur et dur dans la seconde partie. Si le Black Death fait partie de mes genres préférés je lui reconnais toutefois une certaine redondance, cependant avec ses variations dans son riffing Necrocult varie son jeu, ses ambiances, en n’offrant pas simplement une médiocre copie de Proclamation et consorts, mais créant un côté plus épique et diversifié dans ses compositions, ce qui coïncide avec l’aspect fantastique et dystopique des paroles. Après avoir beaucoup parlé des guitares, attardons nous un peu sur le reste. Dans la même idée que les cordes, le chant se scinde également en deux voix, chacune occupant un champ de cet album, il est peut être un peu dommage que le chant Black prennent l’ascendant sur l’autre dans la seconde moitié de l’album. Les vocaux sont en place, efficaces et abrasifs, offrant parfois de très bonnes alternances dans les deux répertoires. La batterie, quand à elle, est parfaitement dans le ton, toujours là pour apporter la puissance nécessaire, toujours bien exploitée avec son jeu varié que ça soit pour appuyer les temps forts des morceaux ou y aller de sa puissance de feu à grand renfort de snare et de pédale. Pour finir, la production vient contraster avec ce qu’on a l’habitude d’entendre dans ce sous-genre car elle est sonne moderne et est d’excellente facture, mettant en valeur chaque instrument.
Necrocult, avec son come-back si l’on peut le nommer ainsi, ne s’enterre pas dans un style, il varie, oscillant entre Black et Death pour parfois les réunir et en faire un mariage heureux. Si cet album n’est pas exceptionnel il n’en reste pas moins bon, il est efficace, classique sans être cliché et on sent que les musiciens connaissent leur leçon mais ont tout de même su y insuffler leur personnalité. Tout cela s’explique par ce qui me plait le plus dans ce « For Thine Is the Kingdom, and the Power, and the Glory », c’est la générosité qui s’en dégage, on sent que pendant toutes ces années le trio a peaufiner son album et y a mit toute sa volonté. C’est donc avec un vrai bon album, sans véritable défaut que relance Necrocult relance sa carrière, il manque simplement la petite étincelle qui ferait de cette seconde œuvre une excellente sortie de cette année. Il ne nous reste plus qu’à espérer qu’il ne faille plus attendre autant de temps pour voir un nouveau méfait de la part de ces Toulousains.
Tolosa, città gravida di storia, è lo sfondo ideale per il Death Nero dei Necrocult, gruppo perpetuatosi in sole due opere: l'eponimo debutto del 2003 e l'attuale "For Thine Is The Kingdom, And The Power, And The Glory". Tale sterilità sorprende se si considera che il trio esiste dal 1994 ed è rimasto invariato fino a oggi. Chi va piano va sano e va lontano, dice l'adagio.
Le oscure composizioni sono chiaramente nate da penne vissute e coprono una vasta gamma d'influenze. Queste passano dai classici Possessed per scivolare verso il Death Metal svedese di gusto Dissection, con un tocco di Black supplementare. Questa descrizione però non rende giustizia alla musica dei Necrocult, che è abbellita anche da tocchi Thrash e addirittura Heavy. Le lunghe e solitamente celeri canzoni sono valorizzate da scale avvincenti e cambiamenti di ritmo ben piazzati. I cori composti dalla voce gutturale di Manu e da quella strozzata di Loran aggiungono tanto divertimento all'ascolto. Questa quota di divertimento è superata solo dall'esaltazione prodotta da tanti passaggi intensi e spacca-collo contenuti in quasi ogni traccia.
"For Thine Is The Kingdom, And The Power, And The Glory" è un piacevole lavoro Black-Death di qualità e senza fronzoli. Il trio francese rinuncia allo sforzo innovativo per creare canzoni cariche d'energia e decorate da cambiamenti di tempo a volte sorprendenti. Raise your horns in the air!
Bei Necrocult handelt es sich um eine russische Black- beziehungsweise Death Metal Band, welche nach ihrem selbstbetitelten Debütalbum und einer über zehn Jahre andauernden Schaffenspause mit „For Thine Is The Kingdom, And The Power, And The Glory“ wieder auf sich Aufmerksam macht. Schon der eindringliche Opener „Shadows“ wartet neben variierenden dunklen Growls und „Gekeife“ mit kontinuierlicher Dynamik und Abwechslungsreichtum auf, ehe „Forbidden Heaven“ ähnlich vehement und druckvoll agiert. In „Law And Order“ wird anschließend das Gaspedal strapaziert, um „In State Of Light“ weitere Doublebass Gewitter zu entfachen. Auch „The Godsend“ wird voll durchgezogen, um letztendlich mit dem ebenfalls riffgeladenen, zehn Minuten Rauskicker „Mind`s Pantheon“ mit einem vergleichsweise etwas verhaltener Mittelteil diese wahrlich kompromisslose und intensive Druckbetankung, straight zu beenden.
Die Franzosen von NECROCULT hatten wohl einige nicht mehr auf dem Schirm, denn das Debüt stammt aus dem Jahre 2003 und es hat bis heute gedauert, bis die Herren mal wieder ein Donnerwetter vom Stapel lassen.
Doch dieses soll sich gewaschen haben, denn mit „Shadows“ wird zu Beginn erst mal ein kleines Gewitterchen als Vorbote mit donnernder Snare fabriziert, doch dann soll der Orkan losbrechen, der sich hier aus einer hervorragenden Gemisch aus Black und Death Metal vorstellt. Die Riffs sägen wie der Teufel und gerade bei den Vocals ist das Zusammenspiel aus Growls und Screams herrlich brutal und auch in Sachen Tempo sind NECROCULT immer auf hohem Niveau. Am Anfang von „Forbidden Heaven“ kann man fast von Blackened Thrash sprechen, doch nach einer massiven Riffwand beginnt erneut ein Donnern, dass hier von den Double Bass ausgeht und sich dann zu einem Up Tempo Deather entwickelt, der immer wieder ins wütende Mid Tempo übergeht und auch das Herunterschalten in extrem drückende Parts klappt hier superb. Dann bricht der Black Metal in seiner rasenden Art urplötzlich aus und so muss ein geiles Songwriting aussehen bzw. sich anhören. „Law and Order“ bleibt über eine ganze Weile Instrumental aber deswegen nicht weniger interessant, doch dann rasen die Franzosen wie die Berserker und knüppeln, also gäbe es keinen Morgen mehr, um dann mit donnerndem Mid Tempo mächtig Druck auszuüben. „In State of Light“ beginnt mit bollerndem Mid Tempo und einigen Drum Ausbrüchen, wobei das markant eisige Riffing im Vordergrund steht und es auch viele Breaks zu hören gibt. Wenn die harschen Vocals einsetzen, ist Black Metal angesagt, der erneut mit den Death Metal Einschüben super harmoniert. Frostig wie Sau und rasend wie ein Orkan bläst es in „The Godsend“, ein weiterer Track, der die Intensität von Black und Death super vermischt und bei dem erneut neben der extremen Raserei auch das technische Know How grandios umgesetzt ist. Das finale und mit über zehn Minuten lange „Mind's Pantheon“ lässt NECROCULT genügend Spielraum, um immer wieder geschickt das Tempo zu variieren und so eine, trotz dieser Länge, verdammt intensive und aggressive Nummer zu präsentieren.
NECROCULT sind im Death / Black Metal Sektor eine positive Erscheinung, die mit ihrem neuen Album einen Hammer raus hauen, der 8,8 von 10 Punkten einsackt.
Screen of review.
Deux albums en deux décennies, on ne peut pas dire que le trio albigeois soit du genre très productif car depuis sa création en 1994 (sous le nom de CRUCIFIX) celui-ci a alterné entre nombreuses premières parties (de SVART CROWN, OTARGOS, TEMPLE OF BAAL, ENSLAVED et d’autres) et périodes de silence total. Après la sortie du disque éponyme en 2003 on finissait par croire avec le temps que son successeur ne verrait jamais le jour, pourtant le voilà enfin qui pointe le bout de son nez et le moins que l’on puisse dire c’est que pour une fois l’attente en valait la peine.
Sous ses aspects très simples et dépouillés, les six titres de cette galette passent comme une lettre à la poste et surtout sans linéarité, car la force du groupe réside dans ce mélange racé et réussi entre black primaire, death sombre et côté épique qui apparaît ici et là. Malgré un son très « raw » qui peut surprendre au début il s’avère finalement parfaitement adapté à l’ambiance voulue par le combo, et surtout totalement équilibré tant la basse est audible et où aucun instrument n’est plus mis en avant qu’un autre, tout est dans la sobriété et dans l’efficacité durant 42 minutes.
D’ailleurs au niveau des compositions elles sont à la fois très différentes les unes des autres (tout en gardant une base classique) mais elles sont toutes excellentes. « Shadows » met le disque sur de bons rails avec ce début martial et cette brutalité présente entre blasts et passages rapides en double (et où l’alternance des voix growlées et criées fait mouche) sur un riffing entraînant et agréable, « Forbidden Heaven » est lui direct et sans concessions avec priorité à la vitesse et à la rage qui sont majoritaires. Cela continue avec « Law And Order » qui durant plus de 7 minutes alterne entre une intro longue et une rythmique épique et agréable, qui se conjugue à merveille avec les deux voix qui éructent simultanément, pour un résultat excellent et qui fait remuer l’auditeur. Après cela on trouve « In State Of Light » où le blast est bien moins présent et où priorité est donnée à la lourdeur (aidée en cela par de nombreux roulements sur les toms qui amènent encore plus de variété), l’hyper brutal « The Godsend » où le chant black est prédominant tout comme la vitesse et les parties de batterie bien radicales, et enfin le magnifique « Mind’s Pantheon » qui durant plus de 10 minutes nous montre tout le panel d’influences des tarnais entre passages mid-tempo, breaks heavy, accélérations et ralentissements qui s’imbriquent très bien au reste, et enfin une intro et outro jouées juste à la guitare et qui crée une ambiance encore plus noire que le reste. Bref un petit bijou qui est parfait pour terminer cette excellente galette variée et accrocheuse.
Pas besoin de faire dans la technique pour maintenir en éveil l’auditeur, là tout est à première vue d’une extrême simplicité mais où les mecs sont forts c’est d’arriver à varier les tempos, les voix et les structures avec autant de facilité sans faire n’importe quoi, car tout est parfaitement imbriqué et cela donne un résultat immédiat et qui fait mouche. Sans révolutionner la scène extrême on obtient un excellent disque 100 % underground hexagonal, joué avec brio et sincérité et c’est cela finalement le plus important.
Pourquoi y a-t-il eu un thrash revival, pourquoi est-ce que le death metal revient à l’honneur et que tout le monde se reforme quitte à saturer l’espace vital encore disponible ? Pourquoi le black metal reste relativement hermétique à toute cette mascarade promotionnelle (encore que…), pourquoi le grind core vit encore et toujours les meilleures heures de sa scène infatigable ?
Eh bien parce que l’on n’a rien fait de mieux que les années 80′s/90′s en matière de musique extrême, et qu’avant qu’on nous brise ce qui nous sert de réserve à tétards, on parlait de véritables vagues de metal extrême telles que le thrash, le death, le black, ou le doom et dans un registre toujours atypique le grind core.
Et heureusement qu’on a une scène souterraine qui vit, et qui produit toujours de la musique primaire, bestiale, sauvage dans la plus pure tradition brute et sans retouche.
Toute cette scène qui relie des groupes comme Torture Throne, Affliction Gate, Marble Chariot, Gut Rot, Smashed et j’en passe et qui est restée fidèle aux plus belles heures de gloire de ces courants musicaux boudés ou inconnus du grand public et des « pseudos amateurs de metal » qui se propagent comme la peste bubonique londonienne… Et dans tout ça, obligatoirement NECROCULT entre en ligne de compte.
Voici douze ans que les sudistes n’avaient rien sorti. Et en douze ans beaucoup auraient lâché l’affaire depuis longtemps. Mais ça NECROCULT s’en fout, parce que de toutes façons c’est certainement pas la recherche de la gloire qui motive le trio.
Alors voilà, après tout ce temps le second album de NECROCULT est enfin là. Rien d’extravagant dans sa présentation et son artwork puisque simples, mais des tons de couleurs qui démontrent le degré de décrépitude de ce « For thine is the kingdom and the power and the glory ».
Toujours aussi black, et pourtant plus black/death que son prédécesseur éponyme, ce nouvel album se différencie déjà par sa production.
Loran s’est tapé tout le taff de celle-ci, mais l’on sent bien que le rendu est plus appréciable pour apporter une couleur à la fois propre et tout de même râpeuse. Ce qui donne à la batterie et aux guitares leur sempiternelle essence black metal, sans fioriture, avec ce grain primaire adapté juste ce qu’il faut pour que l’auditeur comprenne que l’ambiance que dégagent ces six morceaux étalés sur presque trois quarts d’heure ne provient pas que de la production, mais évidemment aussi de l’écriture elle-même.
Si le black metal est devenu plus black/death, c’est parce que même si la vitesse de NECROCULT n’a pas bougé d’un pouce, et que les mélodies noires comme sur « Shadows » sont toujours palpables, le double chant est bien mis en avant, pour donner justement un paradoxe vocal insistant et utile.
A cela s’ajoute des passages où la basse prend réellement le dessus sur la saturation de guitare pour accentuer le côté death metal caterpillar aidé par une batterie brutale et massive. On s’en rend compte vraiment sur toute la fin de « Shadows ».
L’album réserve quelques très bonnes surprises, car au delà d’envoyer uniquement de la violence occulte sur des morceaux qui prennent le temps de se poser entre cinq et dix minutes, NECROCULT a su écrire des chansons qui vont dépasser la simple vision black/death qu’on peut se faire. Lorsque l’on décortique « The godsend » on s’aperçoit du travail dans le détail, même minime, réalisé à la basse pour donner la réplique à la guitare sur tout le titre, mais plus particulièrement à partir de la 34ème seconde, il devient plus qu’évident qu’il aura fallu du temps pour composer un tel album où chaque instant est singulier.
Riche en détail donc , mais également très riche en mélodies, « For thine is the kingdom…. » rappelle les productions des 90′s que sortait House of kicks/No Fashion records à tour de bras, comme les Decameron, Ablaze My Sorrow, A Canorous Quintet, Allegiance…Et « In state of light » est certainement le titre le plus représentatif de cet état d’esprit black/death , avec de réelles mélodies proches de la scène scandinave où l’on sent le blizzard noir arriver jusqu’à notre porte.
Voici des compositions traditionnelles qui crachent leur violence avec une redoutable intensité, NECROCULT ne s’encombre pas de temps mort, mais prend ce temps sur ses morceaux de construire aussi quelques idées légèrement black/thrash sur les guitares afin d’amener un riff plus mélodique juste après comme ; c’est le cas sur « Forbidden heaven ».
« For thine is the kingdom… » c’est de la haine à l’état pur, sans aucune déception à l’écoute où l’auditeur apprécie vraiment les rythmiques tantôt vraiment violentes et rapides, tantôt toujours violentes, mais plus mélodiques (« Law and order »).
Avec peu de moyens, on arrive à faire des albums incontournables, et NECROCULT propose ici un second album qui dépasse de loin celui sorti en 2003. Bien sûr que les années, les écoutes, la manière d’écrire font la différence, mais cet album possède quelque chose de particulier. Il est direct, puissant et bestial. Au lieu de dépenser sa thune dans des produits surfaits, il est judicieux d’investir dans ce nouvel album de NECROCULT rempli d’authenticité, mais aussi d’une rage guerrière dévastatrice…Parce que dans NECRO il y a mort, et dans CULT, il y a culte.
«Если же будет не так, если спутаете знаки пространства, говоря: Все они — одно, или говоря: Их — множество; если ритуал не будет всегда ради меня, — ждите страшных кар…»
Алистир Краули. Книга Закона.
Это второй полноформат отчаянной французской черно-смертельной команды. Архивы сообщают, что группа в самом начале — «когда было слово» — играла death metal. Ансамбль был сформирован Лораном, Ману и Давидом еще в 1994 году — тогда под названием Crucifix. Но прошел срок, группу переименовали Necrocult и стали играть с блаковым оттенком.
В 2003-ем году запустили одноименный с группой компакт, пораженный вирусом темноты и экзекуции. Потом было много времени для осознания себя и своей музыки в современном медиа-пространстве. В неизменном составе ребята неустанно трудились над материалом, который должен показать новую сторону блак дэта,(а может быть, как раз, корни этого богопротивного явления). Итогом самых зловещих ритуалов стал выпуск на Satanath Records свежего альбома Некрокульта. Отметим, что это совместная работа с французской же конторой Ira Militias Productions.
Necrocult начинает с мрачного и деструктивного гитарного риффинга — зубастого и оскаленного соответственно, но удивительным образом наполненным кое-какими гнетущими, архетипическими для дэт-метала, мелодиями. И сразу руки потянулись к буклету. Смотрим: Ману — бас, вокал. Давид — драмсы, Лоран — гитара, вокал. Я вот почему полез, — тут уже с первых минут начал реализовываться двухярусный вокальный эшелон — один блаковый, шелестящий, другой — низкий, дэтовый. Оба интересные в своих кластерах, черный — эмоционально заряженный на ненависть и подспудную агрессию, а дэтовый медитативный )) (в рамках жанра), но приправленный озверением и кельтским видением темной стороны. Временами эти партии не пересекаются, композер им задает отдельные цели и пути реализации, но когда они встречаются на оккультном перекрестке, тогда идет самый толковый лесоповал, тогда трещит бурелом и качаются полустолетние дубы. Но волею композера к этому подводит вся схема музыкального построения — в означенное время и полночный час. Замечу к месту, что «медитативность» дэтового вокала временами спадает, как с хорошего волка его прикинутая овечья шкура. Тогда берегись всякая живность, ненароком заглянувшая в тулузские леса (не менее 60 км от городской черты).
Истовый металлический гитарный забор создается в компо группы — надежно, мощно, с подкреплением в виде остервенелой ритм-секции, которая мало того, что держит гитарный грузный порыв, так еще и создает трамбовку территории, досягаемой ее звуковых волн. Надо бы заметить медицинский факт, что детовая диспозиция в данных траках является непосредственным отсылом к олд-скул делам, к ранним росткам жанра, когда он упирал на самую что ни на есть смертоносность, ментальное давление и самозабвенное скоростное интонирование. Поэтому здесь можно сказать, что это и скоростной дет-блак. Дэт аккумулирован здесь самым свирепым намерением, а транслирован чернейшей волей.
Музыкальное тяжелейшее аудиальное облако, собранное трудами музыкантов 43 минуты нависнет над местом проигрывания компакт-диска, накапливая отъявленную чернейшую энергетику, готовясь пролиться красным дождем самой откровенной мясорубки и потрошильного отделения. К месту было бы признать, что редко какой музартефакт настолько целенаправлен и остро заточен. К тому же, по каким-то параметрам отбирает в атмосфере кислород.
Такой образчик, которому поклоняются самые отмороженные поклонники жанра. И это во времена, когда нам часто являются в новейших произведениях — где ненужная мелодика, где излишняя техничность. При том забывается факт, что жанр создавался совершенно для иных целей. Этот альбом как раз воскрешает ТРУйное прошлое музыкального апокалипсиса и аудиального террора. Компакт-диск доказывает лишний раз, что жанр не умер, а благодатно живет и процветает — где во французских катакомбах, где в русских подвалах, где в индонезийских джунглях, всегда в крови, мертвенно-бледный, черный душой и мыслями. Такой, от которого у простецов волосы встают дыбом от смертельного ужаса, и наступает, медицински выражаясь, неожиданная для них дефекация.
Компакт-диск оформлен в мрачном, гнетущем психопатическом стиле, подчеркивающем регрессивные черты музыкального материала, но местами намекая что это все-таки 2015 год. Такому оформлению обрадуется не один поклонник стиля.
Немаловажно заметить, что любая жизнь изменится после прослушивания этого судьбоносного артефакта, а в какую сторону — это уж зависит от слушателя, его предпочтений и намерений. Цена заявлена.
Some things never have to change. Musically, the more a genre evolves and changes, the more old school faddists come rising above, regenerating the more traditional outbursts of the genre. Black and death metal certainly fit in that category. Throughout the years the genre evolved into countless of different sub genres. Many bands added synths, violins, electronics or just a load of effect pedals to create either massive walls-of-sound or gloomy atmospheric music.
But then, there are bands like this French act, named Necrocult. This trio has been around since the nineties, formed in 1994 under the name Crucifix. Strangely however, the band hasn't recorded anything before 2003. By that time, the name was changed and the original death metal style got mixed with chaotic blackened elements. Now, twelve years later, the band comes up with a second album and it takes off where the previous one ended, with sheer metallic violence.
The music by Necrocult can easily be described as classic mix of black and death metal. After all, it contains all the necessary ingredients to make it resemble one of those awesome old albums on labels like Candlelight or Osmose records. Furthermore, the fierce guitars, growls and screams, mid tempo and blast beats come quite varied, making the album enjoyable for the entire duration, which isn't often the case with these kind of old school albums.
So if you're in for a tremendous throwback into the aggressive extremes of the nineties, this definitely is your thing. It rarely gets more old school than this. Immortal, Darkthrone, Bolt Thrower and Vital Remains often come to mind when I listen to these songs. The alternation between the two genres is great and add some more variation to the whole, which is welcome with quite long songs like these.
http://www.merchantsofair.com/reviews/necrocult-for-thine-is-the-kingdom-and-the-power-and-the-glory
Necrocult are a band from France that plays a blackened form of death metal and this is a review of their 2015 album "For Thine Is The Kingdom, The Power, And The Glory" which was released as a joint effort between Satanath Records and Ira Militias Productions.
A very dark and heavy death metal sound starts off the album and after a few seconds blast beats and powerful bass lines start becoming a very huge part of t he recording and when the music speeds up it gets more brutal along with some growling vocals and black metal screams and the riffs also get melodic at times.
Throughout the recording there is a great mixture of slow, mid paced and fast parts while some riffs also bring in elements of thrash and most of the tracks are very long and epic in length and all of the songs are perfectly balanced between both black and death metal influences creating a mixture of the 2 genres and all of the songs avoid any use of solos and leads and all of the songs remain very heavy from beginning to ending of the recording.
Necrocult plays a musical style that takes black metal and mixes it in with a very fast style of death metal that also gets very technical at times while also being very heavy all throughout the tracks, the production sounds very professional while the lyrics cover Occultism and Dark themes.
In my opinion Necrocult are a very great sounding blackened death metal band and if you are a fan of this musical genre, you should check out this album. RECOMMENDED TRACKS INCLUDE "Forbidden Heaven" and "The Godsend".
http://bringerofdeathzine.blogspot.ru/2015/11/necrocultfor-thine-is-kingdom-and-power.html
NECROCULT vit le jour en 1994 sous le nom de CRUCIFIX sous l'impulsion de 3 passionnés de musique Metal. David et Loran, 2 frères, le 1er est batteur, le second guitariste et chanteur Black auxquels s'est ajouté Manu bassiste et chanteur Death, originaire du même village ayant ainsi facilité la rencontre.
Avant de sortir presque par hasard, leur 1er album éponyme en 2003, une courte expérience à 4 a été tentée suite à une rencontre improbable et ayant confirmé que NECROCULT ne devait exister et perdurer qu'à 3. D'influences Metal différentes, ce sont 2 groupes majeurs des années 90 (Napalm Death et Deicide) qui amorceront le déclic du groupe français originaire du Tarn à s'orienter vers un black/death old school rapide et brutal. Le thème central du combo s'axe sur le côté obscur de l'homme, chercher et découvrir ses limites.
Avril 2015, c'est la sortie de leur 2ème opus 'For Thine Is The Kingdom And The Power And The Glory' . Le trio s'est imposé une ligne de conduite très précise : ne composer que lorsqu'ils sont tous les 3 réunis et un morceau n'est fini que lorsque tous les 3 l'ont décidé à l'unanimité. Fort de ce perfectionnisme exacerbé, des aléas de la vie et des difficultés d'une autoproduction, il aura fallu 12 ans d'attente pour enfin découvrir cette oeuvre incontournable de black/death metal old school ! Cette 2ème galette, c'est 6 titres dévastateurs joués sur près de ¾ d'heure et sur lesquels, Loran, David et Manu auront mis leurs tripes et intégrés leurs influences nombreuses et variées.
Ca attaque fort avec « Shadows » sur un rythme d'intro militaire sous forme de roulements de tambour pour laisser rapidement place aux blast beat de David, aux riffs rapides et acérés de Loran et à la basse millimétrée de Manu avec les voix Death et Black s'alternant naturellement de façon équilibrée. Titre très varié et épique, intégrant des changements de rythme incessants sur 7 minutes. Comme me le confiera le groupe au cours de l'interview qu'ils m'ont accordé (à retrouver ici), ce titre est un de leur préféré à jouer en live.
Pas de répit pour l'auditeur avec la piste 2 « Forbidden Heavy » plus sombre et agressif et des passages aux 2 chants superposés accentuant cet effet. Les riffs sont lancinants et pénétrants avec un côté Heavy Metal 90's et la basse très rapide et présente. Ca défouraille sur près de 6 minutes. « Law And Order » démarre plus calmement et plus black aussi avec une mélodie plus mélancolique sur rythme mid tempo. Lorsque Loran et David chantent en choeur c'est sinistre à souhait tant le chant est lent en opposition avec David qui envoie brutalement ses blast beat ! On ressent l'influence norvégienne dans ce titre qui malgré la voix Death se positionne plus Black.
« In State Of Light » est lui aussi orienté Black avec un côté épique et un rythme mid tempo. Le morceau a la rigueur militaire de « Shadows » et une mélodie prenante. Bien sûr le changement de rythme s'imposera à mi-parcours et ainsi s'accélérant sur des riffs plus heavy et une basse bien mise en valeur me faisant penser à du Iron Maiden des 80's (époque 'Live After Death (1985)' Retour a du Black/Death sans concession avec la 5ème piste « The Godsend » très rapide aux riffs heavy tranchants et à la basse assassine ! Toujours l'ambivalence naturelle du chant et le côté épique apportant de la puissance à la composition. C'est monstrueux !
« Mind's Pantheon » qui nous amène vers la fin de ce full length avec une intro très mélancolique et la mise en place du reste du trio sur un rythme lent/lourd s'accélérant avec parcimonie. Plus de 10 minutes de Black/Death volumineux tellement la composition est variée et remplie. C'est glauque, plus Death que Black me rappelant le cultissime « Blessed Are The Sick » sur le passage « morbidangelien » de près de 3 minutes à mi-parcours !Outro épique....sans fin. Magistral !
NECROCULT c'est comme du bon vin, plus c'est long, plus c'est bon. Il aura fallu attendre 12 ans pour réécouter le trio français et cette attente aura porté ses fruits. On ressent sur chacune de ces pistes composée au bistouri, les différentes époques ayant influencé et inspiré les tarnais.C'est sans concession, brutal, carré. C' est à consommer sans modération !
http://www.unitedrocknations.com/bands/necrocult.html
Necrocult… There are several of them… This review deals with the French one.
Actually, this band was formed in 1994 as Crucifix, playing an old schooled form of Death Metal. Yet slowly on, their approach got darker, and the nameless debut album, released in 2003 via French label Snakebite Productions, already brought a more evil-sounding sound (in mean time the band’s moniker changed into the current one).
Now, after more than a decade, the band sets a new step with this sophomore album, still consisting of rather long tracks. Still with the very same line-up (guitar player / vocalist Loran, bassist / vocalist Manu and drummer David), Necrocult bring a quite technically high-profile form of rhythmic and brutal Death Metal with lots of Black Metal elements and a powerful sound. There is quite some melody within the harsh structures, lots of variation (structural and speed-wise), a grooving approach and a well-balanced mix / sound.
Despite quite enjoyable songs, I do miss an own face.
Well, actually, I think I’m ready… Cool stuff, but lacking of identity, persuasion, conviction. The result is way too predictable, and within the current scene one needs ‘more’… Nice try, but better next time, I hope…
http://www.concreteweb.be/reviews/necrocult
Tudom, tudom, egy kritika nem az írójáról szól. Még is kicsit kell írnom arról, hogyan reagáltam erre a lemezre, mert tanulságos és érdekes a lemez működésének szempontjából is. Amikor az előző kritikámmal végeztem, gyorsan átpörgettem, hogy mik vannak még promoban az asztalon. Beraktam egy lemezt, egy perc múlva kikaptam, hogy ez fertelem, ehhez nincs türelmem, beraktam a Necrocultot és egy perc után ez is visszakerült a fiókba, egy "jaj, ne máááár, még egy szarság" felkiáltással, majd a harmadik lemeznél már meg sem lepődtem, hogy 10 másodpercig sem jutott. Pár nappal később előástam találomra a három "veszett fejsze nyele" lemez közül épp ezt. Gondoltam, majd elzúg a fejhallgatón, míg játszok valamivel. Hátha megszokom. Aztán játék közben valahogy egyre többször kezdtem el odafigyelni a zenére. "Jééé, ez tök király téma, ez meg húz mint az állat!" Amint véget ért, azonnal indítottam és még egy kör lepörgött és még jobban tetszett. Pár nap múlva miközben festettem a lakást, betoltam munka mellé, mert ez jó lemez és tök állat lesz. Na, úgy idegesített, hogy a felénél kikapcsoltam. Ma ismét itt ülök a gép előtt és másodszor pörög az album és baromira tetszik! Persze rájöttem, hogy mi a titok nyitja, de erről egy kicsit később...
A három tagot számláló francia banda, nem épp mai gyerek, hiszen 1997-ben születtek meg és gyorsan kellett is várni vagy tizenhat évet a debütlemezre. Aztán gondolták, ha már így beindult az üzlet, akkor rápihennek a következő kiadványra, ami röpke újabb tizenkét év múlva, idén napvilágot is látott. Nem mondom én, hogy bármit el kell kapkodni, na de ennyire? Mindegy, nincs ezen mit okoskodni, most itt a For Thine Is the Kingdom, and the Power, and the Glory és ha minden így marad, akkor lesz vagy 12-14 évünk kiismerni és felkészülni egy esetleges harmadik kinyilatkoztatásra. Lehet, hogy csak a cím összerakása elvitt vagy három évet... Na, de ne lovagoljak már az éveken, inkább nézzük a zenét!
Ami a bevezetőben felvázolt hozzáállásbeli és élvezeti szint beli erős hullámzást okozza, az bizony nagyrészt a hangzás számlájára írható. Evvel a lemezzel ugyan is meg kell küzdeni. Akarni kell, hogy a tudat áthatoljon a Shadows nyitótémái által felállított szögesdrót akadályon. Az csak az egyik dolog, hogy valami '80-as évek környéki harmadvonalas heavy harcos kezdéssel állunk szembe. A másik, hogy a mai fül számára valami fertelmesen nehéz ez az összhangzás, amivel a lemez bír. Tompa, zajos, vékony és leginkább talán élesebb is a kelleténél, ami nagyon tud fárasztani bizonyos állapotban. Pedig mindent hallani, minden a helyén van, csak fárasztó, igényli az akaratot és az elhatározást, no és persze a nem túl fáradt figyelmet és füleket. Ha ezek a csillagok együtt álnak, akkor már az első perc környékén képes beszippantani az a feketén fortyogó katlan, ami aztán a teljes lemezen végig kísér. A középgyors örvény leginkább olyan hatást kelt, mint ha a régi Aeternus misztikumtól terhelt rituáléját kevernénk valami régi Morbid Angel okozta zsigeri pusztítással és nyakon öntenénk egy kis őrületbe hajló káosszal. A végeredmény egy olyan régi sulis black/death hibriddé válik, ami ódon de nem poros, kriptaszagú, de nem dohos, régies de nem idejétmúlt. A bő öt perctől a tíz percesig terjedő dalhosszak is a régebbi Aeternus kibontogatós, dal-felépítős vonalát viszi, amit ha jól kezelnek én feltétlenül tudok szeretni. És e téren nincs semmi gond a Necrocult munkájával. A fortyogó katlan képes maga alá temetni, beszippantani és megsemmisíteni. Mindezt teszi egy oldschool megfogalmazással, ahol bár időnként pörög a blast és repeszt a kétlábdob, azért semmi sincs túlbonyolítva, túltechnikázva. A hangsúly az összhatáson van, nem a szakmai villogáson. Manu és Loran felváltott mély hörgése és rikácsoló bomlott vokálja is jól működik együtt. Kiegészítik, váltják, frissen tartják a másikat. Nekem a hörgős, David Vincentes vokál jobban tetszik, de a rikács is jól áll ebben a zenei közegben. Kimondottan velős, dallamokban, zenei megoldásokban is bővelkedő pokoljárást eredményez az összkép.
Nekem még a tavalyi Dead Congregation mocska is beugrott itt-ott, de nem mérvadó a dolog. Összességében igazán jó lemez lett a For Thine Is the Kingdom, and the Power, and the Glory, ami telis tele van izgalmas témákkal, hangulatokkal és képes a ráhangolódás után egy teljes értékű éjfekete utazásban részesíteni. Csak a ráhangolódással kell csínján bánni, mert borzalmasan ronda egy jószág ez, ami úgy morog és úgy acsarkodik, mint egy vadállat, ami azonnal képes csuklóból leharapni az ember kezét. Még is meg kell simogatni. Hozzá kell nyúlni. Lehet csukott szemmel is. A fájdalom ugyan az marad.
Huh? French combo Necrocult apparently exists since 1997 and released their debut album in 2013 only to release a follow-up twelve years later. Active on the recording front is something that cannot be said about these gentlemen. With a band name such as Necrocult and ‘For Thine Is The Kingdom And The Power And The Glory’ as album title it is clear what sort of music to expect from the band. Indeed, black metal with quite a dose of death metal to it. Think of a more black metal oriented current Behemoth. Original? Far from it. I would even call it a dime a dozen. Tight and solidly executed? Yes. But it doesn’t grab you. Played the album? Immediately forgot the music.
http://www.lordsofmetal.nl/en/reviews/view/id/31248
Jak známo, ve Francii se to v současnosti hemží talentovanými blackmetalovými soubory, dokonce si dovolím tvrdit, že tamní scéna je nyní bohatší než ta norská, resp. skandinávská. Ovšem nic není jen o mládí a inovativních přístupech a právě NECROCULT o tom vědí své. Vždyť jejich první kapelní krůčky byly započaty už v roce 1994, tehdy ale ještě pod názvem CRUCIFIX. Až v roce 1997 se trojice muzikantů přejmenovala na NECROCULT a po dalších šesti letech se teprve propracovala k oficiálnímu debutu „Necrocult“. Těžko říci, jak přesně dlouho trvala další tvůrčí přestávka, ovšem aktuální album „For Thine Is the Kingdom, and the Power, and the Glory“ se objevilo v éteru až v průběhu minulého roku. Forma a provedení si však nic nezadají s devadesátými lety a je zkrátka znát, že skupina ráda ctí kořeny své, ale primárně žánrové.
Ve své podstatě to obdivuji. Zamilovat se do old schoolu a drhnout to v tomto stylu hlava nehlava… Asi každý čtenář si dokáže dosadit, že svou produkcí NECROCULT Ameriku rozhodně neobjevují, ale v podstatě kolem dávno objeveného cestují, nepochybně se radují a je jim fajn. Je pro mě úplně fascinují, kterak třeba NECROCULT došli k takto sklepně pojatému zvuku, skoro bych Francouze podezříval z toho, že nahrávku zaznamenali analogově, vždyť jak se nejlépe přiblížit všem těm nesmrtelným ikonám, jež postavily základy metalu?
Pokud právě v tomto hledají NECROCULT smysl, pak je jejich počínání neskutečně přesvědčivé a jsem si jist, že stejně naladění jedinci budou z nahrávky nadšeni. Nehledě pak na blasphemickou podstatu, blackmetalový feeling, jenž byl navlečen do obstojného deathmetalového kabátku.
Částečný problém sice vidím v dosti podobajícím se skladbám, plus mínus se jedná o nepříliš pestrý kafemlejnek, avšak účelem bylo (zjevně) vytvořit intenzivní a razantní album, při kterém zkrátka není prostor na odpočinek. Tady se zkrátka jede tvrdě, hrubě a hlavně bezbožně! Máte-li tedy v oblibě black/deathovou odrůdu staré školy, jsem si jist, že by vás comebacková album NECROCULT mohlo uspokojit. V jejich podání je rouhání takřka romantickou záležitostí a je opravdu neuvěřitelné, že i po mnoha letech se u některých nahrávek nevytratilo to původní kouzlo devadesátých let. Sice nejsem úplným fanouškem tohoto účelného retra, ovšem těmhle Francouzům upřímnost zkrátka věřím. Kouzelné a nemilosrdné procitnutí, jako když otevřete skříň s démony, původně zamčenými na deset západů. Vítejte v pekle příjemností!
Het Franse Necrocult is al een aardig poosje actief (sinds 1997, om precies te zijn), maar het tweede album is pas onlangs uitgekomen. Het draagt de onmogelijk lange naam For Thine Is The Kingdom, And The Power, And The Glory, die ik nu dus niet meer ga noemen. Wat kunnen we voor muziek verwachten? De band gooit het over de zwarte boeg en laat een mix van black metal en death metal horen die bij vlagen aan wat oudere Behemoth doet denken. Gooi hier flink wat Noorse invloeden bij en het plaatje is nagenoeg af.
Necrocult houdt van vrij melodieuze metal, maar verliest daarbij de agressie niet uit het oor. Het gevolg is een in toom gehouden chaos, waarover zowel de droge scream, als de rommelende grunt brullen, wat tot een aardig effect leidt. De drummer raast door donderende drumpartijen, die, hoewel ze jammer genoeg getriggerd zijn, hun vak verstaan. De teksten behandelen de bekende zaken uit het genre, zoals de strijd tegen religie, de ondergang van de mens en andere gezapige onderwerpen. Volgens mij is het niet erg moeilijk om uit deze omschrijving een beeld van de band te vormen en ik denk dat dat beeld aardig in de buurt zit. Het uiteindelijke resultaat is dus alles behalve origineel, maar de uitvoering zit goed.
Het is jammer dat de band zo lang heeft gewacht met het uitbrengen van materiaal: de furieuze metal is duister, snel en degelijk uitgevoerd. Relevant is het niet en hoewel dat er niet toe zou moeten doen, maakt dat hier wel dat ik dit album behoorlijk onorigineel vind aanvoelen. Neemt niet weg dat de band goed gebruikt maakt van de voor handen zijnde elementen: de tweestemmige vocalen zijn een van de sterkere punten, maar ook de ongebreidelde agressie is een van de betere zaken op het album. Voor liefhebbers van black en death metal die niet op een geleend riffje hier en daar letten.
This French covenant was concluded already in 1994 as CRUCIFIX, celebrating a Thrash / Death solemnity. In 1997 they added a new member, who brought a second voice and more Black Metal influences into the project. Leading to a name change into: NECROCULT. They have yet released two full length records, in 2003 the self-titled “Necrocult” as well as the 2015 released “For Thine Is The Kingdom, And The Power, And The Glory”. Not much for 22 years of existence. But even more interesting when a band took their time and releases a record whenever they believe it's the right record and the right time. Which makes me look at it maybe a bit more critical because I want to understand what took them so long. By what I get, this record could have been easily released in 1994. The Black Metal elements are as raw and cold as the early Norwegian onslaughts. Bearing atmospheric and melodic elements fuse into a stream of discomfort. Enjoyable discomfort. Obscure and evil coldness is the striking framework on this release, in where mortal Death Metal elements indwell. The vocals switch or ally both ghastly, thin and guttural as well as deeply, spaciousness and monstrous. Harmonizing with each other perfectly. If one can call it that way. NECROCULT are mastering it excellent to blur the lines in between the pentacle where they raise this demon. The main reason is the organic sounding production. Unagitated leading drums, played by someone who knows when and when not to tighten the reins. Providing the guitars and vocals ample space to evolve entirely. This is what makes the record ripened and mature. With “For Thine Is The Kingdom, And The Power, And The Glory” NECROLUST spawn a malicious and highly entertaining record. Hopefully it doesn't take them too long for the next one. Chute sur les genoux : www.facebook.com/necrocult.fr, www.satanath.com
http://www.voicesfromthedarkside.de/Albums-EPs-Demos/N/NECROCULT--10382.html
Ależ wehikuł czasu mi się trafił. Kto by pomyślał, że ta, szpetna w sumie, okładka jest drzwiami prowadzącymi w lata dziewięćdziesiąte. Prowadzącymi, co ważne, w sposób naturalny i niewymuszony. Bo są zespoły, które tego oldschoolu nie pamiętają, i są takie, które nie zajarzyły, że ten oldschool się skończył. Necrocult należy do tych drugich.
Powstałe dawno temu w Francji trio nie wydaje się być specjalnie znane szerszej publice. Może to też przez ubogość materiału. For Thine Is The Kingdom And The Power And The Glory jest ich drugim długograjem (i ogólnie wydawnictwem), zawiera czterdzieści minut muzyki, sześć utworów, a w świat rzuciły ją Satanath Records i Ira Militias Productions.
Zastanawiam się, czy jest jakiś sens na rozbudowane pismactwo. Chyba nie. Necrocult to czysty death metal według swoich pierwszych założeń, zmiksowany często-gęsto z prawie tak samo pierwotnym black metalem. Macie tu częste zmiany tempa, macie blasty, macie galop i ogólnie pojęty śmiertelny łomot, który chwilę później rozwija się w jadowicie melodyczny black metal. Też wkurwiony i też z blastami. Przejścia te zbudowano bardzo naturalnie, obie „twarze” Necrocult pasują do siebie jak smalec i ogórki. I tworzą bardzo fajne kompozycje, co jest o tyle miłe, że najkrótsza ma pięć i pół minuty. To całkiem spore osiągnięcie dla kawałka, utrzymać moje zainteresowanie przez taki czas. Nekrokulciaki sztuki tej dokonują każdym strzałem. Szczególnie Forbidden Heaven i In State Of Light.
Jeszcze fajniej się robi, gdy dołożymy do tego brzmienie. Brzmienie też jest idealnie oldschoolowe. Na początku nawet się poczułem jakbym słuchał Possessed czy czegoś takiego. Z tą różnicą, że bas plumka bardzo, naprawdę bardzo ładnie (intro do In State Of Light najlepszym przykładem).
Jestem pewny, że każdy z nas już słyszał coś w stylu For Thine Is The Kingdom And The Power And The Glory. To nie jest wada. Płyta miała być wehikułem czasu, nie innowacją. Ślicznie przypomina czasy, kiedy to Cannibal Corpse można było w Białymstoku zobaczyć. Nie ma co dalej mówić, polecam każdemu osobnikowi z sentymentem do wczesnego death i black metalu. Krążek bardzo fajny i nawet nie wyszedł na zasadzie reanimacji Potwora Frankensteina.
http://kvlt.pl/recenzje/necrocult-for-thine-is-the-kingdom-and-the-power-and-the-glory-2015/
Esta banda francesa ya lleva casi 20 años en la escena extrema de su país y este es su segundo álbum luego del debut del 2003. La banda se tomó su tiempo y aquí vuelven a la carga con toda su dosis de black/death metal crudo y frío al estilo noruego.
Las voces alternan entre los chillidos y los guturales, armonizando entre sí perfectamente si se me permite el pasaje poético.
Desde el mismo comienzo el death / black metal ataca sin piedad, y después de unos pocos segundos los blast beats y las potentes líneas de bajo se adueñan del álbum para ensamblarse con las consabidas voces guturales y chillidos black al ritmo de los frenéticos riffs.
No obstante a lo largo de la grabación hay una gran mezcla de partes rápidas, lentas, medias, mientras que algunos riffs se introducen en terrenos cercanos al thrash. La mayoría de las pistas son extensas y hasta un tanto épicas, perfectamente equilibradas entre el black y el death.
No descubren nada pero bien valen una oída. Chequéenlos.
http://rockarollazine.blogspot.ru/2016/08/necrocult-for-thine-is-kingdom-and.html
Первое, что я подумал, когда начал прослушивать альбом – они что, с кассеты альбом цифровали или с винила? Звучание действительно странное, какое-то теплое и ламповое, как будто действительно с другого носителя попало на диск, но при этом без шумов, треска, щелчков. Значит, так и надо. Фетишисты что ли, подумал я, и продолжил прослушивание. Дальше – больше. Меня поразила та серьезность, с которой музыканты, а их всего трое, судя по инфе в буклете, подошли к вопросу. Точнее и серьезность, и мастерство, и креативность, и бескомпромиссность – в этом альбоме, кажется, воплощено все. Я не оголтелый фанат блэк-металла, однако какие-то группы и альбомы котирую, причем даже очень. И до Necrocult меня давно ничего настолько не впечатляло. Материал этого альбома очень навороченный и очень олдскульный, сырой, слегка прогрессивный, гармоничный и в итоге крутой. Здесь всего 6 песен, но суммарная их длительность – 42 минуты, а завершающий трек длится почти четверть этого времени. Вот представьте, что музыканты не дают заскучать ни на секунду отведенного времени, поливая слушателя нескончаемым потоком риффов, бластбитов и такого мощного музла, будто в Emperor и ранний Dissection вдохнули тяжесть Morbid Angel. Все не настолько предсказуемо, как в бехемотовском «Zos Kia Cultis», но по-своему сурово. Здесь нет бурзумовской тягомотины и однообразия, и Necrocult просто интересно слушать. Учитывая, что первый альбом (сабж - второй) вышел еще в 2003 г., то тревожно думать, сколько эти идеи копились и выдерживались в головах участников коллектива. В общем, постарались на славу. Жаль, что релиз, пусть даже его подготовка заняла больше 10 лет, опоздал появиться лет на 20. Честно, выпусти Necrocult этот шедевр в начале 90-х, чернометаллический андеграунд так бы полыхнул, что догорающие задницы завистников и хейтеров были бы видны со спутников, а товарищ Викернес ушел бы из музыки, не доходя до греха. Но сабжу было суждено выйти тогда, когда уже не каждый сможет оценить то торжество творческой мысли, отраженной в этом образце черного искусства. В общем, очень суровый и мощный релиз, которым господа французы на мой взгляд уделали свежие работы многих фаворитов жанра, если говорить о степени интересности материала. О серьезности происходящего говорит хотя бы тот факт, что музыканты не носят корпс-пейнт, если судить по фото из буклета, а в оформлении не использовались ни перевернутые кресты, ни пентаграммы, ни изображения демонов и прочей стереотипной нечисти. Я даже не постесняюсь поставить релизу высший балл
http://metalheads.by/en/review/necrocult-for-thine-is-the-kingdom,-and-the-power,-and-the-glory.html